Comment se déplacera-t-on demain ? Le futur sera-t-il à la mobilité individuelle, partagée, multimodale, électrique, douce, autonome… ?
Une chose est sûre, les usages ont changé et les attentes des consommateurs sont fortes. Des véhicules plus « verts ». Plus connectés. Plus intuitifs. Avec plus de services et de personnalisation. Mais surtout pas au détriment du plaisir de la conduite… Une liste de critères pas toujours simple à remplir pour les constructeurs automobiles.
Outre ces attentes, le secteur auto est lui-même chahuté. Les derniers scandales en date ont secoué les géants (Dieselgate, Carlos Ghosn…). L’annonce de la flambée des prix de l’essence a convaincu certains consommateurs de passer à d’autres modes de déplacement. Les évolutions réglementaires ont accentué la pression sur les industriels.
Ce contexte a certes déstabilisé quelque peu l’industrie automobile. Mais il invite également les constructeurs à se réinventer. Faire évoluer leurs produits bien sûr, mais aussi leur rôle, leur modèle, leurs services, leurs parcours d’achat…